Copenhague

Capitale du royaume du Danemark depuis 1443. C'est une ville accueillante et aérée qui s'est développée au bord de la mer.

Symboles de la ville :

• La petite sirène : Incontournable monument symbole de Copenhague. Elle a été sculptée par Edward Eriksen en 1913.

• Le diamant noir : Bibliothèque royale. Symbole du renouveau de la ville inaugurée en 1999.

• Nyhavn : L'ancien quartier mal famé des marins a bien changé. Nyhavn est superbe avec ses maisons aux facades de toutes les couleurs.

• La bourse : Une flèche surprenante et parfaite : quatre dragons à sa base, dont les queues s'enroulent et s'entrelacent jusqu'au sommet.

Palais :

• Christiansborg slott : Le palais de Christiansborg couvre Slotsholmen, une île reliée au reste de la ville par plusieurs ponts. Ancienne résidence royale, il abrite aujourd'hui le Parlement danois. C'est le sixième des châteaux ou palais qui se sont succédés sur ce site depuis que l'évêque Absalon fonda Copenhague en élevant un premier fort, en 1167. Il faut dire que les pillages, les incendies, sans parler d'une frénésie de reconstruction, devaient sévir par la suite! Un troisième château devint en 1417 le siège de la royauté et du gouvernement. L'édifice actuel, s'il date surtout du début du XX^e siècle, englobe quelques parties antérieures, comme la chapelle, le musée du Théâtre, les écuries et le pont de marbre (restauré). Epargnés par les incendies de 1794 et de 1884, ces éléments contribuent à donner à l'ensemble un air d'ancienneté inattendu.
   

• Amalienborg slott : Le palais d'Amalienborg, grand ensemble de bâtiments rococo où réside la famille royale, donne sur une place vaste et majestueuse, à l'écart de Bredgade. Cette place pavée dessine un octogone bordé sur quatre côtés de demeures presque identiques. Celles-ci, qui furent réalisées par l'architecte Nicolai Eigtved lors de l'expansion urbaine des années 1750, étaient à l'origine destinées à des nobles fréquentant la cour. Après l'incendie qui détruisit en 1794 la résidence royale de Christiansborg, les souverains danois rachetèrent peu à peu Amalienborg à la noblesse, et ils y ont toujours vécu depuis. Au centre, une belle statue équestre en bronze représente Frédéric V. C'est sur la place que se déroule la relève de la garde, chaque jour à midi.
   

• Rosenborg slott : Le château de Rosenborg, qui fut la seule résidence «de loisirs» de Christian IV, est un musée depuis 1833. Elle expose l'un des plus importants ensembles de mobilier en argent au monde. Dans les caves, le trésor conserve les joyaux de la Couronne, dont le plus beau fleuron consiste en une couronne en or du XVII^e siècle, sertie de diamants, saphirs et rubis.
   

Places :

• Radhusplads (Place de l'Hôtel de Ville) : De cette place, la plus importante place de Copenhague, 14 rues partent en différentes directions. L'Hôtel de Ville proprement dit fut édifié entre 1892 et 1905. Il présente une grande salle impressionnante, utilisée lors de banquets, de même qu'une horloge astronomique conçue par Jens Olsen.
   

• Kongens Nytorv : Sur cette place se trouve l'ambassade de France, palais fin XVII^è s.

Eglises :

• Marmorkirken (Eglise de marbre) : Il a fallu presque 250 ans pour finir sa construction à cause de problème budgétaire. Un aspect extérieur imposant avec cette superbe coupole.

• Holmens kirke : Juste en face de la bourse, ancienne forge où l'on fabriquait des ancres Elle a été transformée en 1619, sous Christian IV, en église offerte aux marins. Deux modèles de bateaux sont suspendus au plafond.

    Autres édifices :

Théatre		Entrée de Christiania : Ancien terrain militaire transformé en "Etat libre" où la vente de drogues douces est autorisée.
Rundetårn (tour Ronde) fut érigée en 1642 pour Christian IV afin de servir d'observatoire. Elle forme depuis lors l'un des points de repères marquants de la capitale, en dépit d'une hauteur modeste (36 m). A l'intérieur, vous atteindrez le sommet non par des marches, mais par une large rampe en spirale de 200 m de long. Pierre le Grand, visitant les lieux en 1716, gravit à cheval la fameuse rampe, tandis que la tsarine suivait… en carrosse tiré par six chevaux.

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